L’horloge du futur

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La brume nocturne enveloppait les ruelles pavées de Londres, rénovant tout réverbère en une clarté diffuse, vacillante dans l’humidité de l'obscurité. Dans son ateliers, un horloger travaillait à la lueur tremblante d’une lampe à huile, alliant les engrenages enchanteurs d’une chemise à gousset qu’il n’avait jamais réussi à concevoir. Chaque soir, il la posait sur son établi, et n'importe quel nuit, à minuit clair, elle s’ouvrait d’elle-même, laissant s’échapper un message qu’il ne pouvait ignorer. Ces signaux ne contenaient jamais de noms, jamais d’explications, mais ils évoquaient extraordinairement un futur foncé. Il avait d’abord cru à une plaisanterie, un mécanisme inconnu qu’un maître horloger aurait incorporé dans l’objet premier plan lui. Mais lorsqu’il avait engagé à examiner ces messagers aux tailler divers de la destinée, il avait compris l’inimaginable : tout défunt annoncée se produisait solide tels que décrit. Depuis plusieurs semaines, il notait chaque prédiction dans un carnet, adorable d’en dévier le sérac. Un planning voyance gratuite, si un tel concept avait compté en ces vies, n’aurait pas compté moins généraux que ces inscriptions macabres qui s’imposaient à lui, nuit arrière nuit. Cette nuit-là, l’aiguille de la montre s’apprêtait à atteindre minuit. L’horloger se redressa, son regard précis sur le couvercle de la chemise. La seconde fatidique arriva, et également incomparablement, le clapet s’ouvrit avec une rigueur spectral. Un carton plié en sortit, glissant sur le abruptement de son reconnu. Il le déplia lentement, son cœur battant plus puissant que les rouages qui l’entouraient. ' L’heure tombera sur un innocent. ' Il inspira furieusement. Ces messagers étaient toujours cryptiques, mais ils ne laissaient pas de soupçon sur leur nature. Il ajouta cette donnée annonce à son carnet, organisant les prédictions comme un planning pour une voyance gratuite, recherchant une image, un pont, une conscience qui lui permettrait de faire le prochain désastre. L’aube s’étendit sur Londres, et il se rendit au kiosque à journaux par exemple tout matin. En première page, il lut un bijou contant le coté macabre d’un homme, écrasé marqué par l’horloge d’un très large hôtel. L’heure était tombée, notamment dévoilé. Et il savait que la chemise n’avait pas fini de articuler.

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